Day 24
While it is still early to provide any definitive conclusions, we could have a feeling of the country and the UN-mission established there.
We had the opportunity to experience at first hand the vastness of the country and the logistical difficult that the UN and other organizations confront to be able to attend all the population`s need and comply with its role in protecting civilians. Regional differences, city to city, village to village is striking. Kinshasa, the capital, in the West, is nothing like the Eastern cities and villages, where the absence of the state was most felt. In the beautiful city of Bukavu or the interesting Goma, we can also see the intensity of urban life with people coming and going to work from early morning to late night. However, the intensity of the urban life is lost in the horizon when the jungle, the volcano or the mountains sticks out on our views. In this region, 10 kilometers away from the city and you`ll already be in some unpaved street, in the middle of nowhere where electricity is luxury and people are less accustomed to seeing foreigners.
They say that this is the biggest of all UN peace missions. And it can be. More than 18,000 military, another almost 2,000 police and thousands of civilians staff personnel work here for UN`s bureaucratic machine and its agencies. However, when we observe the size of Congo, as big as Western Europe, we realize that despite the size of this mission, the UN is not everywhere, and it can`t be. In Orientale Province, in the region Dungu, where we were last week, the UN presence is limited and the state presence is pitiful. You no longer see the police, or the armed forces as constantly and even UN agencies and other humanitarian organizations are considerably less. They call Dungu a city, but what we saw was a conglomerate of people living in houses made of clay, wood and leaves, without electricity and water. And the lives of those who go to these places to help are not any easier. Confined in the UN compound, with very limited leisure activities, they dedicate part of their lives in helping the others in detriment of their own comfort. Of course not everybody is the same and means well, but amongst those we talked, they were majority.
Truth is there is still a lot to be done. Many, usually the youth, still have hope. Some work alone, in far-away places, until very late at night every day, holding tight to this hope. Others are less hopeful and more accustomed to the slow pace of progress that is observed in these missions. As the so called international community, we may all be still very far from finding a solution to Congo. And it is may be possible that we do not hold the answer. However, these efforts cannot be forgotten or minimized. All efforts may be seen little for those looking from outside, but they are all many of them receive.
Día 24
Aunque todavía es pronto para dar conclusiones definitivas, podemos ya tener una primera apreciación del país y de la misión de ONU allí establecida.
Tuvimos la oportunidad de experimentar de primera mano la inmensidad del país y las dificultades logísticas que las Naciones Unidas y otras organizaciones enfrentan para poder asistir a todas las necesidades de la población y cumplir con su papel en materia de protección de civiles. Las diferencias regionales entre ciudad a ciudad, entre una aldea y es notable. Kinshasa, la capital, en el oeste del país, no es como las ciudades y pueblos situados en el este, donde la ausencia del Estado era más evidente. En la hermosa ciudad de Bukavu o en la interesante ciudad de Goma, también pudimos ver la intensidad de la vida urbana con su gente yendo y viniendo a trabajar desde la mañana hasta la noche. Sin embargo, la intensidad de la vida urbana se pierde cuando la selva, el volcán o las montañas sobresalen en el horizonte. En esta región, a 10 kilómetros de la ciudad ya se pueden encontrar calles sin pavimentar y uno se encuentra en el medio de la nada donde la electricidad es un lujo y la gente está menos acostumbrada a encontrarse con extranjeros.
Dicen que esta es la mayor de todas las misiones de paz de ONU. Y pueden tener razón. Más de 18.000 militares, otros casi 2.000 policías y miles de civiles trabajan aquí para la máquina burocrática de las Naciones Unidas y sus agencias. Sin embargo, cuando se observa el tamaño del Congo, tan grande como Europa occidental, nos damos cuenta que a pesar del tamaño de esta misión la ONU no está presente en todas partes, y no puede estarlo. En la Provincia Oriental, en la región de Dungu, donde estuvimos la semana pasada, la presencia de la ONU es limitada y la presencia del Estado es lamentable. Ya no se ve a la policía o a las Fuerzas Armadas constantemente, e incluso las agencias de ONU y otras organizaciones humanitarias son considerablemente menores en número. Ellos llaman a Dungu una ciudad, pero lo que vimos fue un conglomerado de personas que viven en casas hechas de barro, madera y hojas, sin electricidad ni agua. Y las vidas de aquellos que van a estos lugares para ayudar no son tampoco nada fáciles. Confinados en los recintos de ONU con actividades de ocio muy limitadas, ellos dedican parte de su vida a ayudar a los demás en detrimento de su propia comodidad. Por supuesto que no todo el mundo es igual ni tiene buenas intenciones, pero entre todos los que tuvimos la posibilidad de hablar, estos resultan la mayoría.
Cierto es que aún resta mucho por hacer. Muchos, por lo general los jóvenes, aún tienen esperanza. Algunos trabajan solos, en lugares lejanos, todos los días hasta muy entrada la noche agarrándose con fuerza a esta esperanza. Otros, son menos optimistas y más acostumbrados a la lentitud del progreso que se observa en este tipo de misiones. La llamada “comunidad internacional” aun está muy lejos de encontrar una solución para Congo. Y es posible que nosotros no tengamos la respuesta. Sin embargo, estos esfuerzos no se pueden ser olvidados ni minimizados. Todos los esfuerzos pueden verse pequeños para aquellos que lo miran desde afuera, pero son muy valiosos para aquellos que los reciben.
Apres de dormir dans le compound des agences de l’ONU, on a eu l’opportunité d’y parler avec le chef des Military Observers dans Dungu. On a parle avec un colonel des forces armes de Sénégal, qui a été dans Congo pendant un an (particulièrement Kisangani). Il décrit leur activités quotidiennes : collectionner information qui supportera le rôle de MONUSCO en protègent la population. C’est pour cette raison qu’ils patrouillent et parlent avec la population, les administrateurs des villages et les organisations des sociétés civiles pour qu’ils puissent avoir une idée de leurs besoins et quelles sont les menaces à la sécurité. Il a aussi clarifie que leur patrouilles sont presque toujours avec des escortes des forces de MONUSCO. De plus, il a dit que deux MILOBs étaient dans une mission avec les forces de Guatemala en Faradje où ils ont reçu information que les membres de LRA peuvent être dans ce territoire. L’objectif de la mission était de confirmer que MSF (Médecins sans Frontières) a reçu l’information avant qu’ils planifient une opération.
Quand on est retourne a Bunia, l’équipe a été reçu par presque toutes les sections substantives de MONUSCO (le Chef de l’Officine, Affaires Civiles, Section des Droits Humains, Rule of Law, UNPOL, Protection de l’Enfant et STAREC) dans la sale de conférence du cartier général. Le Chef de l’Officine nous a dit que les affaires de violence sexuelle sont prend très sérieusement. Elle a après demande aux autres sections de parler de leur travailles et les activités qu’ils font par rapport au SGBV.
Le représentative des Affaires Civiles a emphase que le rôle des JPTs est préventif. Par rapport a lui, idéalement les mesures proactives son meilleures que les réactives. JPTs sont fait deux fois par mois.
Le représentative d’UNPOL a parle de l’entraînement qu’ils donnent au PNC, disant que 150 policiers de la PNC ont été entraîne sur les droits de la femme et l’enfant. Il dit qu’il y a un 10% moine de cas de violences contre les femme en 2011.
Les représentatives de Human Rights et Rule of Law parlaient de comment c’est difficile de faire des activités de SGBV dans cette région. Ils ont dit que la plus part des cas sont des civiles contre des civiles, donc ils ne peuvent pas faire interférence. Les seuls cas qu’ils peuvent faire quelque chose sont contre les groupes armes et la ils doivent supporter le système judiciaire national. Le représentant de HR a dit que le problème du pays c’est la corruption et comment il est difficile d’y mètre un système judiciaire dans un pays pendant qu’il y a des problèmes financières.
La représentative de RL (Rule of Law) a parle de la mentalité locale et la perception sur les femmes Congolaises. C’est normal qu’une jeune fille se marrie en échange d’un dot, donc il y a aussi un autre problème qui est de changer les pratiques locales. Il dit que l’ONU doit être un exemple aux autres. Il dit qu’il sait que il n’existe pas des soldats de l’ONU, ils sont tous des contributions des autres pays (et ils ne sont pas nécessairement les meilleurs soldats), mais il est impératif que ces soldats sont bien entraîne et qu’ils se comportent. S’ils ne se comportent pas, toute l’organisation souffre des grandes conséquences, c’est pourquoi il y en a une politique de zéro tolérance.
Le problème c’est que comme la victime de violence sexuelle est généralement récompense financièrement, donc il en a des falses accusations pour que quelques femmes peuvent recevoir de l’argent. Ce serait mieux, dit le représentant de RL, si le support pour les victimes sera de traitement médical et psychologique avec de entraînement professionnel. Il y en a un programme en Bunia par MONUSCO qui offre un support comme ça
Apres de cette réunion, l’équipe est allée au bâtiment de OCHA ou on avait une réunion avec des agences de l’ONU (Particulièrement UNHCR, UNFPA, UN-Habitat et UNICEF). La partie la plus intéressante de cette réunion était l’interface entre les agences et le component militaire de MONUSCO. Les agences dans RDC, diffèrent que les autres agences dans des autres pays, acceptent l’importance des militaires et disent qu’ils sont nécessaires pour faire leurs activités. Les agences doivent êtres escortes pour performer leur activités, par exemple. Mais, ils disent que les militaires dans la région d’Ituri sont retranches, donc les militaires ne peuvent pas escorter a tout le monde qui on besoin de leur services.
Appart de ces problèmes, les représentatives on dit que la Province Orientale est un des plus grands défis pour l’ONU. Elle est la plus grande province du pays et la plus fragile. Il y en a beaucoup de mouvement interne, donc il y a beaucoup de personnes déplaces. Ce mouvement force aux militaires de changer les locations de leurs routines de patrouilles et leurs COBs et TOBs.
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