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Day 15
Today we had the pleasure to accompany the Uruguayan personnel in its daily CIMIC activity which consist of proving food for two places: APROFIME, a school for kids from 3 to 18 years old, as well as a place where girls and young women can receive sewing formation. Two small building were used as classrooms. One with at least 4 classroom for the kids and a few offices. And another, about a block from this one where we visited two rooms where the girls have sewing classes.
The kids stay from 7:30 to 12:30 there and leave after they receive the food that is daily provided by the Uruguayan personnel. While we were there we could see how the kids get together around the truck and know the men who daily go there to provide food. A donation by the RESDAL team was made to support the efforts of this organization.
Afterwards we headed to the ACDF ( Association Congolese Debut et Fier ) , a place where disabled boys live. The place is in bad conditions. They have a small house where 68 boys live and an atelier where they fabricate their own orthopedic devices to help walking. The place is surrounded by rocks and it is not leveled which may complicate their ability to move. The only help they receive is from the Uruguayan personnel who daily comes at lunch time to give them food. The kids approach them and give their hands, staying like that during the whole time the personnel are there.
When presented with so difficult conditions, one always think about what can be done to be improved. These boys do not have beds to sleep and live under extremely difficult conditions. The team with the support of Uruguayan personnel bought them two tanks of water, to be delivered on the following day when Uruguayans once again go there at lunch time to give them food.
Día 15
Hoy tuvimos el placer de acompañar al personal uruguayo en su actividad CIMIC diaria que consiste en llevar comida a dos lugares: APROFIME, una escuela para niños de 3 a 18 años de edad y donde también las niñas y mujeres jóvenes reciben clases de costura. Dos pequeños edificios son utilizados como aulas. Uno, cuenta al menos con 4 aulas para los niños y algunas oficinas. Y en el otro, a una cuadra de éste, visitamos dos habitaciones donde las chicas reciben clases de costura.
Los niños están allí de 7:30 a 12:30 hs y se van luego de recibir la comida que diariamente proporciona el personal uruguayo. Mientras estábamos allí, pudimos ver cómo los niños se reúnen alrededor del camión y reconocen a los hombres que diariamente van allí para proporcionarles alimentos. El equipo de RESDAL realizó una donación para apoyar los esfuerzos de esta organización.
Luego nos dirigimos a la DCAF (Debut Asociación Congoleña et Fier), un lugar donde viven niños con discapacidad. El lugar está en malas condiciones. Tienen una pequeña casa en donde 68 chicos viven y un taller donde fabrican sus propios aparatos ortopédicos para ayudarlos a caminar. El lugar está rodeado por rocas y no está nivelado, lo que complica su posibilidad para moverse. La única ayuda que reciben es de parte del personal uruguayo que a diario viene a la hora de almuerzo para darles de comer. Los chicos se les acercan y los toman de la mano, permaneciendo así durante todo el tiempo que el personal está allí.
Cuando se evidencian condiciones tan difíciles, uno siempre piensa en lo que se puede hacer para mejorarlas. Estos chicos no tienen camas para dormir y viven en condiciones extremadamente duras. El equipo, con el apoyo de personal uruguayo, compró dos tanques de agua que se entregarían al día siguiente cuando los uruguayos una vez más se acerquen a la hora de almuerzo para entregarles comida.
Il pleuvait le matin dans Bukavu et la route à l’hôpital de Panzi était ferme. Donc on a du trouver un chemin alternatif qui était plus longue. Dans la route, on a vu les personnes marchant comme ils le faisaient dans les routes principales, seulement avec plus de boue dans ces chemins.
L’hôpital Panzi est considère une institution de référence par rapport au traitement des victimes de la violence sexuelle. Cree en 1999, elle est devenu un lieu ou les victimes vont pour l’aide et peuvent avoir de la chirurgie reconstructive si elles on fistule vaginale (une conséquence malheureusement commune des tortures qui sont commis pendant l’abus sexuelle). Pour respecter la vie privée de les victimes, on n’a pas parle avec eux, seulement avec le personnel sanitaire.
Apres une visite au FPU Egyptien, qui nous ont traite avec hospitalité dans leur petite caserne mais avec une conversation brève, on a vu les représentatives d’UNPOL. On a vu son Point Focale de la Violence Sexuelle et deux autres représentatives. Les représentatives d’UNPOL ont parle de leurs rôles principales : l’entraînement de la PNC. Ils ont dit que leur travail est de sensibiliser 13 membres de la PNC en leur donner des courses chaque jour de comment se conduire et comment leur travail principale est de protéger et servir la population civile. Ils doivent les entraîner sur le protocole pour l’intervention policière par rapport aux lois internationales, les lois du pays et les régulations.
Ils nous ont commente aussi que malheureusement les membres de la PNC, n’importe quel rang ils ont ou combien d’années ils ont travaille comme des policiers, gagnent seulement $40 (dollars) par mois. Les Généraux n’ont même pas un salaire. C’est même pas considère comme un salaire, il y a quelques mois ou ils ne le reçoivent pas. Ils ne peuvent pas survivre mêmes s’ils n’ont pas de familles, encore moins supporter s’ils l’ont, avec ce « salaire » minable. C’est à cause de ça, que les membres de la PNC doivent trouver des autres formes, formes non santas, de gagner l’argent. Donc ils ne peuvent pas compléter l’entraînement parce qu’ils manquent beaucoup de jours. Alors les membres de la PNC sont les auteurs plus communs des vols.
Mais ils ont aussi parle d’un aspect intéressant de la PNC. Etre un policier est presque un héritage : si un policier (homme) meurt, sa femme ou son fils prenne sa place sans reporter a personne. Comme il n’y a pas un plan de retraite, les familles continuent l’héritage et alors la PNC ne perds pas le numéro des policiers qu’ils ont.
Par rapport à la violence sexuelle, les représentatives d’UNPOL disent qu’ils reportent comme minimum un cas dénonce de violence sexuelle par jour dans la région de Bukavu. Leur travail est de voir la victime et l’agresseur et faire un report sur l’incident. Apres ils emmènent la victime à l’hôpital Panzi et emmènent leurs reports au cartier général de MONUSCO à Kinshasa et à l’Unité de la Violence Sexuelle de Bukavu. C’est l’UNPOL de Kinshasa qui organise et archive tout les reports.
La réunion avec le chef de l’Unité du Genre est très importante pour notre travail. Elle est une jeune femme qui travaille tous les jours jusqu'à 20h00 ou 21h00 dans une Unité qui doit renforcer les communications entre les acteurs militaires de la mission.
Un des aspects plus importants en faisant les programmes est l’information qui est disponible. MONUSCO et les agences font un grand effort pour l’avoir mais c’est très difficile de l’acquérir parce que l’information est diverse, éparpille et il est impossible de savoir le vrai nombre de victimes de la violence sexuelle. Les archives de l’hôpital Panzi, par exemple, ont recorde 2100 cas de VS en 2011.
La violence sexuelle passe dans tout le pays. C’est une « arme effective » pour les civiles et les militaires. Une femme viole perd considération dans sa famille et sa communauté, elle perd toutes les protections. Si il y a beaucoup des cas reportes dans une area, des institutions seront emmenés pour adresser ses problèmes. Donc ces locations spécifiques recevront aide médicale et assistance sociale ou légale. Alors l’image qu’on a d’une population avec accès d’un hôpital, une station de police, une école et une église ne coïncide pas avec la réalité de l’isolation que les villages de cette area ont.
Finalement, on a vu la branche des Médecins Sans Frontières (MSF) Espagnoles. Nous avons été reçus par trois membres de MSF qui nous ont explique la majorité du travail de l’organisation dans la province du Kivu du Sud. Ils travaillent en donnant traitement médical, faisant des campagnes de sensibilisation et combattant les épidémies. Dans le cas spécifique de la violence sexuelle, ils fournissent aux victimes l’aide médicale et des traitements psychologiques. Ils donnent aussi des références aux autres organisations et partenaires si les victimes veulent poursuivre la justice.
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