Day 23
Today was the last day of meetings and we had the opportunity to be with UNFPA and Meeting Support Center. At UNFPA we were received by 3 representatives, who explained the involvement of the agency in SGBV matters. We were told that the organization is since 2004 performing activities regarding SGBV, particularly in the East. With the availability of more funds, though they expanded their activities to the rest of the country starting in the following year.
UNFPA is involved with psycho-social follow up of victims, training of the PNC and FARDC as well as the coordinator of varied initiatives. Nonetheless, their main actions on the field relates to collecting data about SGBV. In accordance to the National Strategy on Combating Sexual Violence, UNFPA along with Congolese Ministry of Gender is the leading UN agency for the fifth pillar which is mapping and data collection. As we were explained, the initiative started in Ituri and South Kivu Province later expanded to other regions covered by STAREC (funds destined to conflict affected provinces, mostly in the East). Local organizations are responsible for collecting the data, while they are responsible for proving the manual and guidelines to harmonize data collection and systematization. While the database is already functioning in the East it is being implemented in the West of the country.
Following this meeting we had the opportunity to speak to the Deputy of Mission Support Center, who provided us with valuable information on how the mission works behind the scenes, such as the determination of budget and logistical support.
The overall budget, for example is defined by the Security Council in accordance to the objectives of the missions. At this point, though, the budget is not programmatic, it will be so, after the definition of several indicators, in accordance to the mission`s objective and priorities. The organ who determines budget share is the Advisory Committee on Administrative and Budget Question, composed of 16 individuals elected by the General Assembly to represent their countries. He also mentioned that currently, the budget is destined to the maintenance of the mandate and one of the problems is that states are doing more with less, which may incur in problems in future. As an illustration of problems on the field he cites the establishment of TOBs by the military, which are supposed to be temporary but may end up being elevated to COBs, incurring in extra budgetary necessities. Consequently, the current policy now is that before establishing a TOB, another has to be closed.
Día 23
Hoy fue el último día de reuniones y tuvimos la oportunidad de estar con UNFPA y con el Centro de Apoyo de reuniones. En UNFPA fuimos recibidos por 3 representantes quienes nos explicaron la participación de la agencia en materia de GBV. Se nos dijo que la organización se encuentra desde el año 2004 desarrollando actividades resto de GBV, en particular en el este del país. Con la disponibilidad de mayores fondos, estarían ampliando sus actividades al resto del país a partir del año siguiente.
UNFPA está involucrado con el seguimiento psico-social de las víctimas, el entrenamiento de la PNC y las FARDC, así como en ser el coordinador de variadas iniciativas. Sin embargo, sus principales acciones en el terreno se refieren a la recopilación de datos acerca de situaciones de GBV. De acuerdo a la Estrategia Nacional de Lucha contra la Violencia Sexual, UNFPA, junto con el Ministerio Congoleño de la Condición Femenina, es la principal agencia de las Naciones Unidas para el quinto pilar referido al mapeo y recolección de datos. Como se nos explicó, la iniciativa se inició en Ituri y la Provincia de South Kivu y luego se expandió a otras regiones contempladas por STAREC (los fondos están destinados a provincias afectadas por el conflicto, sobre todo en el Este). Las organizaciones locales son responsables de recoger los datos mientras UNFPA es responsable de probar el manual y las directrices para armonizar la recopilación y sistematización de datos. Mientras que la base de datos ya está funcionando en el Este del país, está siendo aplicada en el oeste.
Tras esta reunión tuvimos la oportunidad de hablar con el adjunto del Centro de Apoyo a la Misión, quien nos ha proporcionado información valiosa sobre cómo funciona la misión “detrás de escena” como ser la determinación del presupuesto y de apoyo logístico.
El presupuesto global, por ejemplo, es definido por el Consejo de Seguridad de acuerdo a los objetivos de cada misión. En este punto, sin embargo, el presupuesto no es programático sino que es definido de acuerdo a varios indicadores dependiendo de los objetivos y prioridades de cada misión. El órgano que determina el presupuesto es la Comisión Consultiva en Asuntos Administrativos y de Presupuesto, integrada por 16 miembros elegidos por la Asamblea General para representar a sus países. Él también mencionó que, actualmente, el presupuesto se destina al sostener el mandato y que uno de los problemas es que los Estados están haciendo “más con menos”, lo que puede llevar a futuros problemas. Como una ilustración de los problemas en el terreno, él menciona la creación de TOBs por parte de los militares, los que se supone son de carácter temporal pero puede acabar siendo elevados al rango de COBS, incurriendo en necesidades presupuestarias adicionales. En consecuencia, la política actual es que para establecer un nuevo TOB, otro tiene que ser cerrado.
On a voyage de Bunia jusqu'à Dungu. Quand on y allait à l’aéroport de Dungu, on pouvait voir l’infrastructure de ce village. Il est forme de quelques maisons de terre, de bois et de pierres. Comme il n’y a pas des réseaux de téléphone, c’est très difficile de se communiquer avec quelqu’un. Les personnes qui travaillent pour l’ONU et les autres agences vivent dans le compound. Presque tout le monde nous a dit comment c’est difficile de vivre là-bas, pas seulement a cause des mauvaises infrastructures ou des difficultés de communication, mais parce qu’ils vivent au même espace qu’ils travaillent et les loisirs sont très limites. « C’est très difficile de vivre dans une petite chambre et pas dans une maison ou tu peut faire ce que tu veux avec elle. » S’ils veulent quelque chose de manger, ils se débrouillent avec la population locale.
Même avec toutes ces inconvenances, Dungu est le village le plus « développe » de la région. Les difficultés que le personnel militaire et civil ont avec cette région sont immenses. La plus part des gens sont très mécontent avec leur destination a Dungu. Le Acting Head of Office nous a dit qu’il a demande a son chef si était une punition quand il c’est rendu compte qu’il était destine a Dungu.
Le jour était productif et on a vu quelques components de l’ONU, et MONUSCO, en Dungu. Dans une réunion avec les Affaires Civiles, on nous a explique que leurs priorités sont la protection des civiles, renforcer la société civile locales et maintenance d’état de droit, et la prévention et la protection. Ils ont un totale de 9 CLAs destines a la région qui font 1 JTP (Equipes conjointes de protection) par mois. Les Joint Assessment Missions sont fait deux fois par mois. Il dit que principale différence entre les deux est que les JPTs sont seulement la pour implémenter des mesures de protection, pourtant que les Joint Assessment Missions fournissent des estimations de sécurité d’une area particulière. Ces 2 opportunités laissent les militaires se communiquer avec les civiles. Les Forces Spéciales de Guatemala (GUASFOR) sont les plus populaires entre les civiles. Leurs escortes sont considères les plus professionnels sont décrit d’être différents aux components civiles et agences de MONUSCO.
La représentante de Protection de l’Enfant est une femme Haïtienne très dévoue a son travail qui nous a parle de comment elle sauve les enfants qui ont échappe leurs vies avec des groupes armées ou comment elle négocie avec eux pour que ces enfants peuvent partir. Apres de ça, les enfants reçoivent réhabilitation et ils sont réunis avec leurs familles (si cette option est possible). Elle nous a dit que les militaires ne ce communique pas avec la population civile et que elle ne connaît aucun QIP ou groupes militaires qui font des activités CIMIC (appart des forces de Guatemala).
Apres de ça on a vu les différentes agences de l’ONU : UNICEF, OCHA, WFP et UNHCR. Le foyer de la conversation étaient 2 thèmes : leurs communications avec les militaires et leurs activités qui sont centres dans la violence sexuelle. Ils ont emphase l’importance des militaires dans cette région. De plus, ils disent que sans eux ils ne pouvaient pas faire la majorité des choses qu’ils font, parce qu’ils dépendent beaucoup de leurs escortes pour aller a des endroits isoles et ils dépendent aussi en leur support logistique. Ils ont emphase le professionnalisme de GUASFOR et ont dit qu’ils sont les meilleurs soldats du terrain. Ils ont tous dit qu’ils ont des inquiétudes concernant la sécurité et ont reçu de l’information que il y en a la possibilité de mouvement de la part des groupes armes.
Concernant la violence sexuelle, l’UNICEF a un projet important avec la Protection de l’Enfant qui se concerne aux jeunes filles qui sont envoyés aux membres du LRA pour être leurs femmes. Elles doivent nettoyer leurs maisons, préparer leur nourriture et se coucher avec ces hommes comme si elles étaient des épouses adultes. UNHCR dit que le procès de justice est encore plus complique parce que 50 % des cases de violations sont fait par la FARDC. De plus, il y a un grand problème de SGBV dans cette région a qui n’est pas aide par les conditions économiques et le contexte culturelle (où le mariage a une age très jeune est accepte).
UNHCR à un programme de prévention dévoue à la réduction du risque d’exposer des femmes à SGBV. Le programme entraîne la PNC et la FARDC sur la violence sexuelle, violence entre les genres exploitation et abus.
Apres de ça, on a vu le commandant du contingent de Maroc, leur officier d’information publique et quelques autres officiers. Le bataillon à 856 hommes qui sont distribue en 5 compagnies (une qui spécialise en logistiques, une autre en mécanismes et les autres trois en motorisation). Ils sont tous dans différentes locations en Dungu. Les COBs et TOBs (Temporary Operating Bases) sont loin de Dungu. Ils ont dit que leur défi principale est de convaincre la population qu’ils sont la pour les protéger. Mais, ils ont aussi le problème que le terrain est trop grand et ils n’ont pas le personnel nécessaire pour le couvrir, ils ne peuvent pas être dans partout. Alors la population les accuse de ne pas répondre les signales d’alerte. Ils ont aussi dit que avant il y avait des manifestations contre leur présence mais que maintenant ils sont plus acceptes par la population.
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